l faut être affûté comme un couteau pour s’approcher d’un ordinateur. Voir les gens pianoter sur leur clavier comme monsieur Jourdain faisait de la prose me rend tout chose. C’est dingue, cette jeunesse : elle navigue sur les algorithmes comme les gondoliers sur la lagune. Des prestidigitateurs volent d’une application à une autre, enchaînent les raccourcis clavier, multiplient les copier-coller… Je ne parle pas de ceux qui se baladent sur le Dark Web comme dans
