Benoît Magimel
« Gamin, je me disais que la quarantaine serait le meilleur âge. Je ne me suis pas trompé »
Paris Match. On dit toujours que c’est moins bien la deuxième fois. Pareil pour le César du meilleur acteur ?
Benoît Magimel. Non, c’est même mieux ! J’étais encore plus ému. D’autant plus que c’était inattendu. Deux années de suite ! Je m’étais préparé à ne pas l’avoir. C’est incroyable ! Autant d’affection de mes pairs, mais aussi des gens que je croise dans la rue… Un sentiment exponentiel depuis “La tête haute”, d’Emmanuelle Bercot [l’acteur avait reçu pour ce film le César du meilleur second rôle, en 2016]. Je la considère aujourd’hui comme ma sœur.
On comprend ! C’est elle aussi qui vous a permis d’obtenir votre premier César du meilleur acteur pour “ De son vivant”. Comment l’avez-vous rencontrée ?