Restylage il y a et il se voit, mais ce n’est pas ce qui nous intéresse présentement. Les projecteurs rétrécissent et la calandre enfle, pour aller à l’essentiel. Pas de grand chambardement, donc, et nous ne l’escomptions d’ailleurs pas. La refonte du mobilier intérieur de la paire composée du X5 et du X6 est plus inattendue. La planche de bord est entièrement refaite, marquée par l’abandon de la casquette qui surplombait le combiné d’instrumentation au précédent épisode. Face au conducteur prend place une dalle incurvée, laquelle regroupe de manière séparée l’instrumentation numérique et le moniteur de contrôle central. Comptez 12,3 pouces dans le premier cas, 14,9 pouces dans le second. Dans le même mouvement, le système d’aération se pilote désormais via l’écran central et le levier de vitesses disparaît au profit d’un basculeur.
Chez BMW, on ne se refait pas et, sans surprise, le compartiment moteur fait l’objet de soins particuliers. On hybride en mode léger à tous les étages sans exception pour ce qui concerne les motorisations qui ne se nourrissent qu’aux énergies fossiles, en résumé. On rameute des chevaux supplémentaires ici et là et,