La question est simple: si vous en aviez les moyens, accepteriez-vous de payer 1,2 million d’euros pour une nouvelle hypercar non pas équipée d’un moteur électrique de 2 000 ch ni d’un V12 atmo tournant à 12 000 tr/mn, mais par le vieux V6 biturbo de la Nissan GT-R? Facteur aggravant: le tout est construit par une entreprise dont vous n’avez jamais entendu parler, installée dans un pays qui n’est pas spécialement réputé pour son savoir-faire dans les voitures à hautes performances.
Praga, en République tchèque, pense que vous devriez. Normal, après tout, puisque c’est de leur voiture qu’il s’agit. Mais ils ont des arguments pour vous convaincre. Selon eux, leur Bohema représente l’une de vos toutes