Bien des collectionneurs de haut niveau adoreraient posséder ne serait-ce qu’une fraction des raretés que l’on trouve chez DPM Motors, à Monaco. L’un des trois espaces de l’établissement, celui de 550 m2, accueille les anciennes: Ferrari 330 GTC, Mercedes-Benz 300 SL Papillon, Porsche 911 Carrera 2.7 RS, Lancia Aurelia B24 Spider, mais aussi Maserati 8CM de 1938 ou encore Gordini T16 de 1952. Elles dorment, en attendant un nouveau propriétaire, dans un local raffiné, où elles jouxtent d’autres oeuvres d’art, immobiles celles-ci, comme des tableaux ou des sculptures.
Une grande expérience dans l’ancienne
DPM Motors a été créée en 1997, et dès le début, elle a commercialisé des classiques en plus des autos de sport récentes. nous confie le maître des lieux qui, très attaché à la discrétion, préfère ne pas être nommé. Il nous révèle avoir été salarié dans Pour l’automobile mais aussi pour le travail en ce domaine, le développement de l’activité est au coeur des préoccupations du fondateur. Ainsi, en 2005, il accède à un nouveau local, toujours en Principauté, afin de mieux mettre en valeur les autos qu’il propose. La population de Monaco, et de fait la clientèle de DPM Motors, étant très internationale, on peut mettre en perspective le comportement des différents acheteurs en fonction de leurs origines. On croit souvent que les Français sont absents des hautes sphères du marché, mais cela ne se vérifie pas ici. Avec cette nuance que les acheteurs français adorent la discrétion, l’automobile d’exception étant souvent fort mal perçue chez nous. Dans l’ensemble, leurs goûts ne diffèrent pas vraiment de ceux des amateurs des autres pays, nous apprend-on chez DPM Motors.