n mauvais rêve. Voilà comment les anciens du Rassemblement national (RN), passés à Reconquête en pleine campagne présidentielle, pourraient avec le recul décrire l’aventure Éric Zemmour. Tous avaient fantasmé sur la destinée de cet homme providentiel de la droite extrême, avant qu’il ne se ratatine à deux reprises, dans la course à l’Élysée puis aux élections législatives., cingle Gilbert Collard. L’indocile eurodéputé du RN devenu président d’honneur de Reconquête s’est depuis brouillé avec son nouveau capitaine… et ses lieutenants. regrette l’avocat, qui assure avoir à l’époque ressenti de à quitter ses amis lepénistes.
