e surintendant de La Scala, se serait sans doute passé de ce qui ressemble à un mauvais de Moussorgski, estimant que ce choix pourrait servir « les rêves de grandeur et de puissance » de la Russie de Vladimir Poutine. Polémique « ridicule », a estimé le directeur français, en faisant valoir sur France Musique que le titre avait été choisi bien avant le déclenchement de l’agression militaire russe et que son argument pouvait justement être lu comme « une parabole sur le destin des dictateurs ». Le surintendant a aussi défendu le fait de distribuer des artistes russes, dont Ildar Abdrazakov dans le rôle-titre. Lequel n’est « pas un va-t-en-guerre », contrairement à Valery Gergiev, « ami de Poutine dont il épouse les thèses », désormais à La Scala.
DECRESCENDO
Dec 22, 2022
1 minute
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