lle a lu « Une sœur » sur les conseils de Jalil Lespert. « Jalil commençait à vouloir produire des films. Il m’a tendu la BD en me disant : “Ce pourrait être un bon premier film pour toi”, et, en la refermant, j’ai compris qu’il avait raison. » Charlotte Le Bon est alors déjà l’auteure d’un premier court-métrage brillant, qui l’a confortée dans son envie de ne plus accepter tous les rôles qu’on lui propose. « J’ai contacté Bastien pour savoir s’il acceptait que je me lance dans une adaptation. Il m’a donné son accord. Mais j’ai mis presque deux ans pour
