« On adore. On aimerait être des femmes puissantes comme elles »
ur leur passage, les murs tremblent. Et ce n’est pas une métaphore. « Lors d’une représentation, on a dû baisser le volume de la musique, parce que, avec les cris des spectateurs, on dépassait le seuil de décibels autorisés », raconte le metteur en scène, Raphaël Cioffi. On ne peut que le croire sur parole tant, à chacune des dates de cette longue tournée, les salles sont pleines