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ès les premières notes, une larme roule sur sa joue. « J’ai beaucoup pleuré durant les répétitions. Que ce soit pour la scène de “Mon frère” ou celle de “L’envie d’aimer”, c’est assez déchirant », confie Pascal Obispo. Même émotion du côté d’Albert Cohen : « Avec ce spectacle qui émerge de nouveau, près de vingt-cinq ans d’histoire remontent à la surface. J’ai déjà pleuré quinze fois depuis le début. » « Les 10 commandements » conservent une place particulière dans sa foisonnante