ur le papier, rien ne prédestinait cet ingénieur à participer à la sauvegarde du patrimoine. Et pourtant, lorsque l’on y regarde de plus près, son cursus n’avait rien d’anodin. Natif de Rouen en Seine-Maritime, Olivier Leclerc part faire ses études à l’École supérieure de physique et chimie industrielle de la Ville de Paris (ESPCI) avant d’être embauché par EDF au sein de la Direction des études et recherches. Là-bas, le jeune docteur en physique-chimie est chargé de travailler sur la restauration des vestiges du , tout juste sorti de l’océan à 3 700 mètres de profondeur. « », explique-t-il. Dans ce laboratoire spécialisé, il a également travaillé au traitement des obus contenant des gaz de combat de la Première Guerre mondiale, exhumés lors de la construction de la ligne TGV Paris-Lille: « »
Olivier Leclerc « Restaurer n’est pas suffisant »
Aug 30, 2022
3 minutes
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