Jules-Eugène Lenepveu Le grand oublié des beaux-arts
our les Angevins, son nom se résume à une rue du centre-ville. Mais Jules-Eugène Lenepveu, né en 1819, place du Lion-d’Or, à l’angle actuel des rues Lenepveu et Saint-Georges, est avant tout l’un des plus grands artistes que la ville ait vu naître, avant qu’il tombe dans un quasi-oubli pendant plus d’un siècle. Une absence dans l’histoire de l’art sous le Second Empire que tente de combler une exposition au musée des Beaux-Arts d’Angers. Environ deux cent soixante œuvres (peintures, dessins, sculptures, photographies, imprimés, manuscrits, objets d’art, mobilier, céramiques, textiles) ont été rassemblées, dont un tiers environ provient de grandes institutions telles que les Beaux-Arts de Paris, le musée d’Orsay, la Bibliothèque nationale de France, le Petit Palais, le musée Carnavalet mais aussi des musées de Nantes, Laval, Quimper, Beaufort-en-Anjou, Avallon…
