Rien ne prédisposait Alexandre Pujol à cette vocation. Plutôt anti-chasse quand il était adolescent, et seul dans sa famille à pratiquer ensuite cette activité, il se décida à passer son permis de chasser l’année de ses 16 ans, en 1996, pour accompagner son meilleur ami d’alors. Grâce à un savoir naturaliste aussi précoce que pointu (la vie des bêtes n’avait déjà plus de secret pour lui) mais aussi à ses efforts pour connaître les volets plus techniques de ces épreuves, il obtint le fameux sésame.
D’abord chasseur à tir
Bien que non chasseur, son père lui offrit son premier fusil, un Baikal avec lequel il
