David Gastine

jango Reinhardt aurait sûrement été heureux, curieux et flatté de voir son, classique de Steve Goodman popularisé par Joe Dassin (), ce recueil anglophile s’achèvera 12 titres plus tard sur une émouvante version de dans la langue de Gainsbourg. Aux graves veloutés du chanteur et aux zébrures aériennes de l’harmonica de Vincent Bucher () ainsi qu’aux contrepoints du guitariste Samy Daussat (, ) s’agrège un choix élégant de pépites rayonnant autour de l’astre Cash (, ). Sans trompette ni batterie, la contrebasse de l’aîné Sébastien Gastine maintient le cap sur ce swing languide, donnant envie d’ouvrir les fenêtres sur les routes des vacances.