L'Express

Après Boris Johnson, le difficile retour au réel

ne fois n’est pas coutume, Boris Johnson a dû se rendre à l’évidence: il lui faudra laisser sa place à un autre. Mais avant d’accepter les faits, il les nia une dernière fois et fit vivre à la Grande-Bretagne deux jours de folie constitutionnelle. Du jamais-vu outre-Manche. Quand un Premier ministre perd la confiance de son gouvernement et de son parti, l’usage veut qu’il démissionne et qu’il ait la grâce de ne pas se faire prier. Rien, cependant, ne l’y oblige, et c’est là l’une des grandes faiblesses de la démocratie britannique. Elle obéit à des règles non écrites, des « conventions de gentlemen » qui appartiennent à la Grande-Bretagne d’antan, celle d’avant

Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.

Plus de L'Express

L'Express1 min de lecture
Bus : Vent De Fronde Contre Bruxelles
C’est peu dire qu’elle a vu rouge. Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France (LR) n’a pas mâché ses mots lorsqu’elle a eu vent du projet de la Commission européenne pour verdir les bus urbains. « L’Europe ne peut pas être le lieu de l’a
L'Express1 min de lecture
L'Express
Directeur de la publication : Alain Weill. Directeur de la rédaction : Eric Chol. ■
L'Express1 min de lectureInternational Relations
Le Mot De La Semaine
Le couperet ne va pas tarder à tomber pour l’agence de l’ONU chargée des réfugiés palestiniens, l’UNRWA, qui se trouve dans la tourmente depuis que 12 de ses membres ont été accusés par Israël d’avoir « participé activement » à l’attaque du Hamas le

Livres et livres audio associés