Augmentation de 2 % par an des effectifs de telle espèce, diminution de 30% chez telle autre sur une période de 10 ans… Ces chiffres produits régulièrement par des organisations internationales comme l’Union internationale de conservation de la nature (UICN) ne pourraient intéresser que les spécialistes des espèces concernées. Et pourtant, c’est sur la base de telles évolutions que les oiseaux migrateurs, notamment, demeurent chassables ou non.
Les conventions internationales qui en régissent