STADE DE FRANCE LES MENSONGES NE PASSENT PAS
En Angleterre, Match a retrouvé des supporteurs victimes des bandes de banlieue et de la violence policière
Ils nous avaient bouleversés, incarnant bien malgré eux le fiasco du 28 mai autour du match Liverpool-Madrid. Assaillis de gaz lacrymogène et coincés derrière les grilles du stade, cet enfant de 11 ans et son père viennent de nous ouvrir leur porte. Comme d’autres victimes. Malmenés par les forces de l’ordre et des hordes de voyous à Saint-Denis, ils n’en reviennent pas que les autorités françaises les aient stigmatisés : « On compte sur vous pour dire ce qui s’est vraiment passé ! »
Un selfie pour deux sourires XXL. C’était à leur arrivée en France, avant de se rendre au stade. Après les années Covid, Jade n’avait pas hésité à casser sa tirelire pour offrir ce voyage à son fils. Mais, comme des milliers de fans du FC Liverpool, ils ont d’abord été bloqués plusieurs heures sous ce pont. Sans explication. Le cauchemar ne faisait que commencer… Les violences subies étaient telles que le petit Maxwell a fini par hurler qu’il avait peur de mourir.
1 500 euros pour ce week-end inoubliable « entre hommes ». Ils ne verront même pas le match
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Paddy Pimblett « Mon ticket était valable, le stadier l’a confisqué comme faux pour le donner à des amis »
Ce cliché de l’innocence maltraitée a fait le tour du monde. Un garçonnet, frimousse blonde, yeux vert de mer, hagard, épouvanté, le nez enfoui dans son écharpe de Liverpool, fait face aux
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