Le Journal d’Anne Frank, 75 ans déjà
N N’AURA JAMAIS FINI de parler d’Anne Frank, cette jeune Allemande, réfugiée à Amsterdam, qui commença son journal le 12 juin 1942, jour de son 13e anniversaire, fut arrêtée le 4 août 1944 et mourut du typhus fin février-début mars 1945 dans le camp de Bergen-Belsen. En ce, publié le 19 janvier, l’historienne canadienne Rosemary Sullivan entendait lever le voile sur le mystère de la dénonciation des Frank, cachés durant plus de deux ans dans une annexe de l’entreprise familiale Opekta, au 263, Prinsengracht. Aidée par un ancien agent du FBI, elle affirmait, « avec un degré de probabilité de 85 % », que le dénonciateur était le notaire juif Van den Bergh. Lever de bouclier des chercheurs, et suspension de l’impression de la version néerlandaise de l’ouvrage fin janvier – la version française, publiée par HarperCollins restant, elle, disponible.
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