HIPPODROME DE PANTIN, 13 NOVEMBRE 1979. Klaus Schulze, pantalon, T-shirt et baskets impeccablement blancs, comme sur la carte postale publicitaire de la marque Korg dont il est l’ambassadeur, fait son entrée dans une clameur imposante. Il s’installe, dos aux huit mille spectateurs, passablement défoncés à la bière et au népalais, et face à un gigantesque monolithe noir, baignéde lasers rouges: ce synthétiseur modulaire, avec ses boutons et ses patches, est, pour nombre de ses fans, la vraie vedette de la soirée.
Composition méditative
Son dernier album, publiéle”