Kerbal Space Program Étoiles rouges dans l’espace !
En guise de préambule, une petite mise au point s’impose. Il n’existe pas une bonne façon de pratiquer KSP, la seule et unique à laquelle on doit se plier. La simulation des techniques de propulsion et la mécanique newtonienne sont les principales règles qui s’appliquent ici, après peu importe qu’on veuille s’amuser, apprendre, respecter la réalité ou tester des vaisseaux fantaisistes, à chacun sa manière d’aborder le sujet. C’est justement ce qui fait la richesse de KSP et a assuré son succès. Avec plus de 3,5 millions de licences vendues, KSP a échappé à la logique des grands studios de distribution; servi par une grande communauté de fans et de développeurs indépendants d’extensions gratuites, il poursuit son bonhomme de chemin dans la galaxie du monde vidéoludique grâce à la liberté qu’il offre à ses utilisateurs.
Dans nos approches de KSP, nous avons néanmoins pris le parti (arbitraire et assumé !) de nous inspirer de ce qui s’est fait dans le domaine de la conquête spatiale. D’une part procéder de la sorte permet de découvrir petit à petit les problèmes qui se posent (on n’établit pas une colonie sur une autre planète si on ne sait pas d’abord mettre un satellite en orbite basse!); d’autre part l’histoire réelle de la conquête spatiale est une source d’idées pour la création de lanceurs, vaisseaux et autres sondes. La quantité de pièces disponibles (surtout avec l’extension Making History) autorise déjà un très large panel de constructions. Avec un bémol toutefois: les éléments disponibles dans le hangar, même s’ils sont imaginaires, son très fortement inspirés des programmes américains. Même sans être expert en la matière, on reconnaît sans peine les grandes lignes des capsules Mercury, Gemini, Apollo, la
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