Vogue Paris

NADIA TERESZKIEWICZ

La vie de Nadia Tereszkiewicz s’emballe. Elle ne s’y attendait pas, pourrait presque avoir le sentiment d’être sur les écrans par hasard, et cependant elle n’arrête pas de tourner, les grands rôles pleuvent, rien que ces deux derniers mois, les spectateurs ont eu le temps d’apprivoiser ses grands yeux bleus et sa grâce si particulière

dans au moins deux films, de Monia Chokri et un conte auquel on a envie de croire signé par Fabienne Berthaud. Plusieurs pages de ne seraient pas le prochain film de Romain Campillo (le cinéaste de ) à Madagascar, ou en encore de Damien Ounouri, en Algérie, où Nadia parle en arabe. Mais surtout, la jeune fille est la révélation des de Valeria Bruni Tedeschi, du nom de l’école de théâtre qu’avait fondée à Nanterre Patrice Chéreau dans les années 1980. Dans ce dernier opus autobiographique de la cinéaste, elle incarne une apprentie comédienne aux prises avec la première passion, les addictions, la peur du sida, et les grandes émotions fondatrices amoureuses, amicales, artistiques à une époque qui semble si lointaine, sans réseaux sociaux, sans téléphone portable, où l’on se rencontrait pour de vrai, en chair et en os! Dans ce film, Nadia Tereszkiewicz a le redoutable privilège d’être l’alter ego de Valeria Bruni Tedeschi à 20 ans.

Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.

Plus de Vogue Paris

Vogue Paris3 min de lecture
L’horoscope Des Bijoux
Mars, planète de la force, du courage et du désir, se pose dans votre signe dès le 1er. À vous, la détermination et la puissance de réalisation. C’est maintenant ou jamais pour atteindre vos objectifs et sortir de votre zone de confort. Mars vous pou
Vogue Paris2 min de lecture
Le Débat: L’APPROPRIATION CULTURELLE
L’historien de la mode Khémaïs Ben Lakhdar s’intéresse aux contours de cette notion qui fait débat dans l’industrie de la mode, pour mieux la dépasser dans L’Appropriation culturelle. Comment vous êtes-vous intéressé à ce sujet? Au cours des recherch
Vogue Paris1 min de lecture
l’exposition: LUXE DE POCHE
Au siècle des Lumières, les élégantes ne sortaient pas sans et les portaient parfois cachés sous leurs jupons ou au plus près de leur coeur: boîtes à mouches ou à fard, châtelaines et lorgnettes, étuis à messages et tabatières. Les hommes avaient aus

Associés