MARION BARBEAU L’ENVOL VERS LE 7E ART
La grâce comme un don. Et une discipline. L’ancien « petit rat » rêvait de devenir étoile, jusqu’au moment où elle a découvert l’actrice qui sommeillait en elle. Cette révélation, Marion Barbeau la doit à Cédric Klapisch, pour qui elle incarne le personnage de danseuse dont il rêve depuis vingt ans. « Il me fallait quelqu’un aussi doué en danse classique qu’en danse contemporaine », explique le réalisateur, subjugué par l’essai qu’il lui fait faire. « C’était la première fois que Marion jouait, et elle a un truc en plus, quelque chose d’indescriptible qui lui échappe. »
L’école de l’Opéra, c’est la pression permanente, l’angoisse, les rivalités, les insomnies. Elle retrouvera le sommeil grâce… au Covid
La danse classique s’est imposée à elle comme une évidence. Source de ses plus grandes joies, elle a dévoré son temps, son insouciance. «Je n’ai pas vécu comme les enfants de mon âge, explique Marion Barbeau, première danseuse au Ballet de l’Opéra de
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