uelques heures après avoir quitté la grisaille parisienne de l’aéroport Charles-de-Gaulle, l’avion se pose sur la piste d’Hurghada, la nuit est douce. La compagnie s’est chargée des visas (sur demande – 70 e –, mais vivement conseillé) et s’occupe du transfert à bord. Certains clients ont annulé, Covid oblige, et la bonne surprise, c’est que tous les passagers tiennent confortablement dans deux bus. Hurghada est une ville de 90000 habitants et son front de mer, presque entièrement dévolu au tourisme et à la plongée, s’étale sur 45 km de côte. Les contrôles de sécurité égyptiens sont nombreux et, une fois passé le dernier rayon X à la gare maritime, nous montons enfin à bord. est seule à quai. La nuit est déjà bien entamée, mais l’équipage nous attend, souriant, et un buffet froid délicieux
