La Chine sous la menace de sanctions
a douceur romaine n’aura pas réussi à réchauffer l’atmosphère. Ni les dorures du Cavalieri Waldorf Astoria, un palace avec une vue imprenable sur le dôme de la basilique Saint-Pierre. C’est là que Jake Sullivan, le conseiller américain à la sécurité nationale, a rencontré dans la plus grande discrétion, lundi 14 mars, Yang Jiechi, le plus haut responsable de la diplomatie chinoise. Sept heures de discussions dont quasiment rien n’a filtré. Juste un communiqué lapidaire de la Maison-Blanche laissant planer peu de doute sur la
