e qui était censé être un passe-temps pour Mike Campbell est devenu une industrie presque lourde. En formant les Dirty Knobs, en 2001, son but avoué était d’écumer les clubs de Los Angeles avec ses copains, entre deux tournées et séances de studio avec son patron d’alors, feu Tom Petty – et bien d’autres artistes, car Campbell reste l’un des sidemen les plus demandés de la côte ouest. Après avoir publié, en 2020, , un premier album coproduit par Campbell et George Drakoulias, on redécouvrait les passions qui animent cette formation, laquelle ne devait être qu’un simple side project: faire revivre le classic rock, la psyché, le blues sauce british façon Animals, et États-Unis obligent, de la bonne grosse country avec Chris Stapleton en guest star. Et surtout, dira-t-il à la sortie de ce premier opus. Et pour ce nouvel effort, on a pris les mêmes et on a recommencé… Élégamment intitulé , cet album montre avec évidence que Campbell & the Dirty Knobs n’ont pas bénéficié de la chance du débutant: car l’ouvrage est très largement au niveau du premier, dont nous disions ici même le plus grand bien.
RIFF & ROLL
Feb 23, 2022
4 minutes
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