ne étude de paléogénétique fondée sur l’analyse de 793 squelettes anciens montre que la population de Grande-Bretagne a sous la direction de David Reich (Harvard Medical School de Boston), montre que les arrivants se sont d’abord installés dans le Kent (), avant de rayonner brusquement dans le Sud de l’île aux alentours de l’an 1000 av. J.-C., remplaçant les peuples présents depuis le Néolithique. Selon les chercheurs, les migrants seraient les ancêtres de la moitié des habitants d’Angleterre et du pays de Galles à l’âge du fer, mais n’auraient guère touché l’Écosse. L’étude émet par ailleurs l’hypothèse que l’invasion aurait servi de vecteur aux langues celtiques – ou tout du moins leurs variantes brittoniques (dont dérivent le cornique, le gallois et le breton). L’article ne dit pas si ce séisme démographique a été violent ou pacifique.
UNE MIGRATION MASSIVE A BOULEVERSÉ LA GRANDE-BRETAGNE À L’ÂGE DU BRONZE
Feb 10, 2022
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