“”, Francis Kuntz, collectionneur, dans “” (EPA, 45€, cité par Olivier Nuc, Le Figaro du 31 décembre). Ça part d’une bonne intention. Cette passion sincère qui réunit des aficionados comme notre Grolandais ou Christian Prouteau (à quand un “Mes Disques A Moi” avec le fondateur du GIGN?) est évidemment très sympathique. Mais faire de cet instrument un placement plaisir et un objet de spéculation va justement provoquer l’effet non désiré: ce seront bientôt les banques, justement, qui posséderont les Fender Custom Shop, comme elles le font déjà pour les violons du XVIIIème, prêtant aux concertistes les Stradivarius ou les Guarnieri qu’ils ne peuvent plus acquérir. J’avais dîné chez un cinéaste argentin de bon goût (il a fait un long-métrage sur “” dans son pays et “”, — “”, ce genre). Après le repas, comme un enfant avec son train” L’engin en valait au moins vingt mille. Je n’ai jamais cherché à revoir cette belle personne qui se conduit comme une ordure.
