“C’était traverser ça ou l’autodestruction”
À CHAQUE TRI, À CHAQUE DÉMÉ-NAGEMENT, EN CAS D’ATTAQUE DE PUNAISES OU DURANT LES PIRES INONDATIONS, ils sont là et on se pose la question: réécouterions-nous un jour les trois premiers albums de Beechwood? On les prend, on les tâte, les inspecte. “Trash Glamour” et “Songs From The Land Of Nod” sont rapidement sauvés: leurs pochettes ont tout fait pour ce groupe et continuent, bêtement, de fasciner. “Inside The Flesh Hotel”, à la pochette et au nom légèrement repoussant, reste finalement grâce à ses slides et