Une couverture magnifique: une frêle barcasse avance sur une grande étendue d’eau baignée par un soleil chaud. Évidemment, on ne voit pas la barcasse progresser, derenforcent cette impression et la suite est à l’avenant : un chien (bleu) parle, il s’agit peut-être d’un rêve, mais pas sûr, le monde est submergé par les eaux, la vie a disparu, remplacée par la survie, Hans Vogel revient de loin, de la prison apparemment, le gars sur la barcasse c’est lui, sa mère attend la fin, son frère passe ses journées sous l’eau, lui doit trouver d’autres lieux pour échapper aux autorités militarisées.
