La Bonne du curé d’Annie Cordy Un succès inattendu
Nov 10, 2021
4 minutes
par Victor Cascales
Plus vendeur que Tata Yoyo, plus irrévérencieux que Frida Oum Papa et plus gourmand que Cho Ka Ka O, La Bonne du curé est le plus gros tube de la carrière de Mademoiselle 100 000 volts. Pensez donc : 1 022 000 exemplaires écoulés (deux fois plus que Tata Yoyo).
Et ce, rien qu’en France, le pays d’adoption de Léonie Cooreman, fille d’un menuisier et d’une épicière, née en 1928 à Laeken, près de Bruxelles. Ce chiffre astronomique fait d’Annie Cordy la championne des ventes de quarante-cinq tours de l’année 1975, devant les cadors Michel Sardou ( 800 000 exemplaires), Joe Dassin ( 700 000), Alain Barrière ( 700 000), 500 000) ou Nino Ferrer ( 600 000) !
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