DU CINÉMA COMME THÉRAPIE
Oct 29, 2021
2 minutes
À Cannes, cet été, la pluie qui tombe comme un rideau sur le générique de fin de a fait sensation. Une partie de la critique y a vu une douche providentielle : initié à quelque magie ancestrale, Apichatpong Weerasethakul aurait fait pleuvoir pour laver le regard des spectateurs, corrompus par deux semaines d’exposition brutale à un flux d’images ininterrompu. Le cadre festivalier, avec tout ce qu’il engendre) et son public. Mais en partie seulement.
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