En Chine, la folie de la grande vitesse
Avant 2008, David Feng évitait systématiquement le train quand il voyageait en Chine : « C’était sale, étouffant, sombre, lent… pour moi, c’était un service géré par des bureaucrates fatigués, symbole d’une économie planifiée d’une autre époque. » Le gaotie (TGV, en mandarin) l’a fait changer d’avis : « Mon premier voyage, le 1er août 2008, m’a complètement retourné : je suis entré dans un wagon aussi futuriste qu’un avion de luxe. Il a atteint 350 km/h, on m’a donné de l’eau minérale (en première classe). C’était rapide, propre, et le service était bien meilleurConquis, David Feng n’a plus arrêté d’emprunter le train à grande vitesse chinois, au point de devenir blogueur spécialisé sur le sujet. gaotie,
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