« LE CONGRÈS EST UN COURONNEMENT DE NOS EFFORTS »
Le Congrès mondial de la FIPF est toujours synonyme de retrouvailles, de partage, d’échanges… Comment comptez-vous pallier cette absence et faire en sorte que ce Congrès virtuel ne soit pas seulement un partage d’écran?
Je dois dire que nous avons ardemment souhaité que le congrès puisse se tenir sur le mode présentiel et qu’il me paraît paradoxal et désolant que le congrès, qui avait toutes les chances d’être le plus convivial dans l’histoire des congrès mondiaux de la FIPF, soit conduit, par la force des choses et la faute de la pandémie, à se dérouler à distance sans la chaleur des retrouvailles. Nous avons dû sacrifier l’ensemble du programme culturel qui promettait d’être grandiose car il aurait fallu un investissement géant pour transmettre à distance un concert, une pièce de théâtre et d’autres spectacles et nous comptions beaucoup sur les attraits de Hammamet et l’accueil des Tunisiens pour rendre inoubliable le séjour de nos amis et collègues. Mais nous faisons confiance aux congressistes pour transférer sur le mode virtuel cette convivialité coutumière de la FIPF dans les échanges et les activités scientifiques, pédagogiques et associatives du congrès. La pandémie ne vaincra pas les enseignants de français du monde.
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