Robert Combas «À SÈTE, BRASSENS SE CACHAIT»
Pescaluno « Pêcheur de lune » en occitan. La petite inscription accueille le visiteur avec poésie, même si, en cette fin de matinée ensoleillée, un immense camion de déménagement obstrue l’entrée de la villa de Robert Combas, sur le mont Saint-Clair à Sète (Hérault). L’artiste-peintre de 64 ans, cofondateur de la figuration libre (avec Hervé Di Rosa), n’envisage aucunement de quitter son havre de paix avec une vue plongeante sur la Méditerranée. Il prépare le transfert de ses toiles au musée Paul-Valéry voisin, qui accueille à partir du 8 octobre sa nouvelle exposition, « Robert Combas chante Sète et Brassens », à l’occasion du centenaire de la naissance du poète sétois disparu, par exemple. déplore Geneviève, son épouse et alliée indéfectible depuis trois décennies. Combas a également sorti de son atelier des toiles sur Sète et signé une série de neuf nouveaux portraits de Brassens qui illustreront également un luxueux coffret de dix vinyles reprenant l’intégrale du chanteur (le 8 octobre chez Universal ).
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