LIMIÑANAS / GARNIER
LA SCÈNE : CHAMBRE SPACIEUSE SUR LE ROOF-TOP D’UN HOTEL BRANCHÉ, RUE DU FAUBOURG SAINT-HONORÉ. L’éphémère trio déboule dans un chahut enthousiaste. On s’installe : expressos allongés et beaucoup d’eau minérale. S’ils ont nocé jusque tard dans la nuit, nos hôtes n’en ont pas moins, comme disent les Espagnols, un palique du diable !
Limilolo
ROCK&FOLK : Comment tout a commencé entre vous ?
Lionel Limiñana : Laurent nous avait invités en 2017 à jouer au festival Yeah !, qu’il co-organise avec des potes. On arrive, j’essaie d’ouvrir la porte de l’accueil, et c’est Jules-Edouard Moustic qui m’ouvre. J’ai fait “Whaou !”, j’ai posé ma guitare et je lui ai fait un câlin ! Je ne sais pas ce qui m’a pris, je l’adore !
R&F : Laurent, qu’est-ce qui vous a accroché chez les Limiñanas ?
Chez eux, j’aime l’urgence, le côté famille dans les textes, et il y a de l’humour, ça me plaît beaucoup. Je me reconnais dans leur musique, la transe : c’est ce qu’on a ensuite cherché à produire ensemble. Je me sentais même stupide de n’en avoir pas entendu parler avant. Parfois, dans la vie, tu découvres des choses et tu te dis : C’est pareil avec
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