L’incontournable Jack Anton
Jack Antonoff évite les poignées de main et nettoie son siège à peine entré dans un avion : la phobie des germes n’a jamais été une mince affaire chez lui. Pourtant, l’année qui s’est écoulée ne l’a pas beaucoup ébranlé. “Ça s’est bien passé parce que je m’y étais pré paré”, explique-t-il. Plutôt que de paniquer, celui qui cumule les étiquettes de songwriter, producteur et leader de groupe avec Bleachers a passé cette période auprès de ses parents, dans le New Jersey, et à faire de la musique avec son cortège habituel de femmes, dont la notoriété n’a d’égale que le talent, en même temps qu’il mettait la touche finale à Take the Sadness Out of Saturday Night, le troisième album de Bleachers.
poursuit-il, Un travail qui n’en est pas moins omniprésent, et ce de manière incontestable. L’émergence récente d’une Olivia Rodrigo a même montré qu’une artiste pouvait sonner comme si elle avait travaillé avec lui sans que ce soit le cas, exception faite de cette partie de piano sur “New Year’s Day”, une composition signée Swift-Antonoff. Sa patte sur une production est plus difficile à cerner qu’il n’y paraît. S’il est connu pour des synthés très marqués , auxquels il a toujours bien du mal
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