Virginie : “Comme dans la série, j’ai été diagnostiquée HPI”
« J’ai pris confiance en moi en étant enfin alignée sur mes valeurs profondes et mes aspirations »
C’est une bonne série policière», répond-elle avec malice. Virginie Cotel s’attendait à ce qu’on lui pose la question. Elle reconnaît d’emblée qu’elle était curieuse de découvrir HPI. « J’ai trouvé le rôle d’Audrey Fleurot plaisant, assez coloré et atypique, confie-t-elle. Cependant, je n’ai pas reconnu beaucoup de traits liés aux “hauts potentiels”. En tout cas, pas comme je peux le vivre. Il y a des éléments véridiques, comme le côté performatif de l’intelligence et le caractère décalé du personnage, qui s’affranchit de beaucoup de règles, mais pas grand-chose d’autre. » Disons que cela reste une fiction. « Mais il est vrai qu’elle a le mérite de faire parler du sujet… »
D’abord, un mal-être profond
Longtemps, Virginie n’a pas su sourit-elle. Moins que son potentiel intellectuel, c’est sa constante volonté de bouger qui l’interpelle.
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