Dans les universités de médecine, les pseudosciences restent bien ancrées
iplôme universitaire (DU) d’aromathérapie à Rennes ou Limoges, de mésothérapie à ClermontFerrand, d’artthérapie à Poitiers ou Grenoble, ou encore de taïchi thérapeutique et d’« auriculothérapie scientifique » (sic) à Paris: les pratiques de soins les plus farfelues continuent de trouver leur place dans les programmes des facultés françaises. L’offensive voilà trois ans d’une poignée de médecins contre le remboursement de l’homéopathie et l’enseignement à l’université de pratiques non validées par la science puis la publication dans nos colonnes quelques mois plus tard d’un appel de la même teneur, signé par 130 académiciens, avaient suscité un large débat et conduit à la fin de la prise en charge par la collectivité des petits granules.
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