Médecines douces: l’urgence d’une évaluation et d’une information objective du public
cupuncture à l’hôpital, formations homéopathiques et même anthroposophiques à l’université, méditation à l’Assemblée nationale… Longtemps associées aux marges et à la contre-culture – du siècle au new age post soixante-huitard –, les médecines alternatives s’institutionnalisent. Des praticiens, professeurs, chercheurs ou élus défendent désormais leur usage, au nom d’une médecine se voulant « intégrative » et « holistique », mais aussi pour répondre à la demande des Français. Qu’importe si ces thérapies reposent majoritairement sur des fondements non scientifiques, voire mystiques (le « principe de similitude », le ), et si, très souvent, elles ne peuvent démontrer d’efficacité en dehors de l’effet placebo.
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