Le magnétisme des ruines
Aug 05, 2021
2 minutes
Par Fabienne Lemarchand
« » Mieux qu’aucun autre écrivain, Chateaubriand, l’auteur du (1802), a su exprimer l’émotion profonde, presque obsessionnelle, que les vestiges légués par l’Histoire, ceux de Rome en particulier, lui inspiraient. Ce goût des ruines, qui connaît son apogée avec l’émergence du romantisme au tournant des XVIII et XIX siècles, remonte en fait bien plus loin. En Occident, il se manifeste dès la Renaissance. Comme le ». Et d’insister, « ». Un regard qui n’a cessé d’évoluer.
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