Les « bad guys » de Ryanair sont de retour
Après trente-cinq ans d’existence, Ryanair divise toujours autant le ciel européen. On l’aime autant qu’on la déteste. « C’est vrai que nous avons un peu l’impression d’être les bad guys du secteur, mais c’est surtout le cas dans des pays où les compagnies traditionnelles sont très présentes. Après, notre ADN, c’est de nous battre pour que les gens puissent voyager à prix bas », lâche Dara Brady, directeur marketing et numérique de la compagnie irlandaise.
A l’image du boss, le fantasque Michael O’Leary, au franc-parler qui détonne, le côté trublion reste la marque de fabrique du leader du transport aérien en Europe. Présent dans 37 pays, forte de 84 bases, 2 500 vols quotidiens et
