TIC TOC
Énoncée par Jean Castex un an après l’annonce du premier confinement, cette phrase a de quoi laisser pensif. D’autant que, selon un sondage , 78 ), de ces vents générés par nos différences culturelles. Même à des inconnu·es, on permettait de déposer leurs lèvres sur notre épiderme. Quand on ne se coltinait pas des tours de table au restau et qu’on pensait s’en sortir avec un coucou: Pourtant, selon Dominique Picard, professeure de psychologie sociale spécialiste des interactions humaines, . Alors oui, le triste check-poing et la grotesque poignée de coudes nous laissent orphelins. Mais faut-il regretter cette bise (provisoirement?) envolée? Pas sûr, quand nous reviennent en mémoire ces cafés de fin d’idylle achevés par une bise sur nos joues inconsolables. Ouais, 1970-2020. RIP, la bise.
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