Deux ans chez Mao
temps a coulé, un demi-siècle est passé mais, pour l’historienne spécialiste de la Shoah et de la Résistance Annette [sa] De 1974 à 1976, avec son mari et son fils, la militante maoïste enseigne le français à Canton, en Chine. Lorsqu’elle rentre, ses yeux se sont ouverts et son monde s’est effondré ; elle tente de se suicider. Dans ce récit à la lecture agréable, Wieviorka nous plonge dans son quotidien, raconte son impossible fraternisation avec l’« qui est rongé par la pauvreté et réduit aux tickets de rationnement. ces mots reviennent pour décrire son expérience. Comme celui de dans un pays où l’on fouille sa valise pour s’assurer que ses lectures sont conformes à la ligne. Par petites touches, Wieviorka rend palpable sa vie chinoise sans liberté et sa douloureuse introspection. Ce livre essaie de [qu’elle était]
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