LA F1 AU DÉFI DE L’ÉCOLOGIE
Lannonce du retrait de Honda comme motoriste a fait des vagues chez Liberty Media. C’était la première fois qu’un acteur de la discipline la quittait depuis leur rachat en 2017. Immédiatement, les alarmes se sont mises à sonner dans la communauté des investisseurs : « Qui sera le prochain ? », se sont demandé les analystes de Wall Street. Le fait que Honda ait motivé son départ par le désir de se focaliser sur l’électrification a encore amplifié la portée de l’annonce. Car, en creux, on y comprenait que la F1 était un dinosaure du sport, bâti sur une énergie fossile sale et bruyante et, de ce fait, à la merci du premier écolo venu. Si Honda était capable de quitter le jeu, alors même qu’elle gagnait des courses avec Red Bull, l’un des trois top teams, disposant d’un atout maître en la personne de Max Verstappen, alors qui serait le suivant
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits