LES CERVEAUX VONT RESTER !
plafonnement des budgets à 145 millions de dollars ne va affecter qu’un tiers des écuries actuelles. Mais on estime que cette limitation des dépenses, destinée à baisser encore de 5 % par an en 2022 et en 2023, obligera à la suppression de 1 000 postes au total dans la discipline d’ici à fin 2023. Pour la plupart, il s’agit de collaborateurs hautement qualifiés, bénéficiant de salaires élevés. Si l’on considère que la plupart d’entre eux travaillent depuis longtemps pour les écuries qui les emploient, les indemnités de licenciement pourraient atteindre des sommes substantielles. Surtout, ils disposent en général de talents assez uniques et travaillent dans ce milieu parce qu’ils sont passionnés par la performance et la compétition. Tenter de se faire embaucher dans d’autres écuries n’est pas forcément la solution miracle. Ils perdraient alors le bénéfice d’une longue collaboration avec leur actuel employeur et pourraient être obligés à déménager loin de leurs bases de
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits