VISÉ DANS UNE PLAINTE POUR VIOLS INCESTUEUX, IL SE DÉFEND
PARIS, LE 26 JANVIER
«Nous sommes consternés et blessés par la façon dont nous sommes traînés dans la boue par notre neveu au motif que nous avons refusé de céder à son chantage», a réagi Gérard Louvin, 74 ans, lundi 25 janvier, dans les colonnes de Le matin même, dans un article du le neveu du célèbre producteur, Olivier A., l’accusait, lui et son ou et directeur de la évoque d’abord sa naissance, dans une famille aimante. Ses oncles sont d’ailleurs présents à la maternité. « Gérard, c’est mon sang, témoigne Olivier A., encore bouleversé. Daniel, il m’a pris dans ses bras quand j’avais 24 heures. » Mais c’est bien plus tard, au début des années 1980, lorsque les deux hommes invitent le garçon, alors âgé d’une dizaine d’années, à passer des week-ends chez eux, dans leur appartement des Hauts-de-Seine, que tout aurait basculé. Au moment du coucher, selon le récit d’Olivier, Gérard le laissait seul avec Daniel. Le directeur artistique, âgé alors de 36 ou 37 ans, lui aurait d’abord imposé caresses et masturbations. Puis Olivier aurait été victime d’abus plus graves puisqu’il affirme avoir été obligé de pratiquer des fellations sur la personne de Daniel Moyne. « Il prend ma main, la met sur son pénis, sur son érection. Il est en caleçon. Il me montre comment on masturbe… Je ne sais plus si c’est ce soir-là où il met ma tête», se souvient-il.
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