15 AOÛT 1982 À ZELTWEG

Lui-même excellent pilote, il resta toujours fidèle à un principe : en course, la légèreté vaut mieux que la puissance. Il prétendait que la voiture de course idéale serait celle qui, sitôt après avoir franchi victorieusement la ligne d’arrivée, tomberait en morceaux ! Une métaphore, bien sûr. Mais ses convictions étaient très proches de cette image. Cela l’exposa, tout au long de sa carrière, à de graves critiques, car ses Lotus péchaient souvent par une dangereuse fragilité. Stirling Moss (Belgique 1960), Jim Clark (Hockenheim 1968), Jochen Rindt (Italie 1970), entre autres, en firent la dramatique expérience. Moss s’en était