80% des loupés sont des balles basses Les conseils d’un directeur de sanglier courant
Rares sont les chasseurs du pays de Caux à ne pas connaître Éric Le Forestier. Il y a quarante ans, après avoir débuté chez Poly à Rambouillet puis s’être installé comme bronzeur à domicile pour des grands noms de l’armurerie parisienne, il a créé – avec Matthieu Berge qui plus tard fondera le Hourvari – l’Armurerie cauchoise, à Yvetot (Seine-Maritime). Chasseur passionné de petit gibier et de gibier d’eau, il est venu au grand gibier plus tard, par la force des choses comme il le dit lui-même, avec la multiplication des sangliers et des chevreuils dans sa région de toujours. Cette expansion des populations de grand gibier et le développement des battues l’ont poussé quelques années plus tard, en 2005, à faire construire son stand de tir avec sanglier courant.
Armes de Chasse : Qu’est-ce qui vous a décidé à installer un sanglier courant il y a quinze ans ?
En 2005, il n’y avait pas de sanglier courant dans la région, ce qui « historiquement » n’était en rien surprenant, mais de nombreux chasseurs le regrettaient. J’ai donc jugé que c’était important de proposer ce service à mes clients. Cela pouvait être aussi un bon support pour l’activité d’armurerie. Le stand possède un pas de tir sur cible fixe à
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