… & King’s College
D’un chœur l’autre. Un coffret de 14 CD célèbre celui du King’s College de Cambridge en sélectionnant quelques jalons gravés pour Emi sous la (petits chanteurs) et (étudiants). La quête de pureté cultivée par Willcocks trouve une traduction dès le de Fauré gravé en 1967, avec son impalpable (Bob Chilcott, futur pilier des King’s Singers) et ce « » tombé du ciel dans l’. Malgré d’ardents solistes (Ameling, Baker, Bowman, Tear !), ses Bach et Handel s’imposent avec moins d’évidence que l’ d’Howells, poignante fresque funèbre avec chœur mixte et orchestre. Cleobury a diversifié la palette des , dont il obtient un fruité admirable dans les arcs et imitations du de Byrd. Si la qualité des voix d’enfants varie, l’excellence des pupitres d’hommes paraît croître avec le temps ( de Tavener !). De Ledger, on retiendra surtout la présentation en diptyque des de Bernstein et de de Britten – où le verbe se fait chair. Mais aussi le de 1978, joyeuse Vigile de la Nativité dont le King’s College a fait un rituel.
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