LA PETITE HISTOIRE DU TAM-TAM
Contrairement à ce que l’on imagine souvent, le tam-tam n’est pas un tambour d’origine africaine mais un disque de des d’Anton Webern est exemplaire de cette diversité : le tam-tam s’y fait l’un des acteurs majeurs de ce crescendo implacable. Il intervient souvent à des moments dramatiques bien précis, comme dans de Ravel, où il ne se fait entendre qu’à de rares reprises, lors des climax de la pièce. François-Joseph Gossec l’utilisa dès 1790 dans sa , jouée l’année suivante pour le transfert au Panthéon des cendres de Voltaire. Edgard Varèse en emploie de trois variétés différentes dans (1929-1931) : un tam-tam clair, un tam-tam grave et un grand tam-tam (très profond précise-t-il dans la partition). Heitor Villa-Lobos y a régulièrement recours, notamment dans son poème symphonique et dans son
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